info: une combinaison de ex-bourbon et ex-sherry de premier remplissage. 12 ans dans le premier et 3 ans dans le second. Anciennement appelé le Darkest désormais seulement 15 ans. J'ai en main le Darkest, l'ancienne édition. J'ai aussi gouté la nouvelle au bar et pour être honnête, je ne croyais d'abord pas que c'était le même whisky. Pourtant, tout indique que le procédé est identique. Si c'est seulement la variation entre les batch que j'ai perçu, ça m'a semblé énorme comme différence. Bref, je ne sais pas trop quoi en penser mais, pour ma part, il est clair que les goûts ne goûte vraiment pas pareille. Quatre récompense, les quatre fois l'or en 2013, 2014, 2017 et 2018 (International Wine & Spirit Competition et The Spirits Business).
Nez: c'est sucré et fumé. Des raisins et des épices.
Bouche: Doux. fruité. Des dattes ou des raisins secs trempé dans la sauce BBQ. Céréalier. Une douceur derrière sur cette crème céréalière. Texture ok. Impression de dilution. ça parait que ce n'est qu'un finish de 3 ans en fut de sherry. Sans ça, il n'y aurait pas grand chose. Ou est le ex-bourbon? Confondu à travers le finish en sherry. je pense qu'il aurait gagné à s'affirmer pleinement sur le sherry.
Finale: Éphémère. pratiquement inexistante. Fumé et amertume.
Overall: Tandis que la nouvelle édition du 15 était plus boisé et plus sèche en bouche, le 15 darkest est juteux et fruité. tellement juteux que ça semble dilué. Ce n'est pas mauvais. Mais, ça semble être une pâle copie moins complexe du Lagavulin 16. Un peu comme une version plus légère et moins agressive de ce dernier. Je pense que c'est un scotch pour ceux qui débute leur aventure dans la tourbe. Cette tourbe est équilibré avec le sucre des raisins secs. rapport qualité-prix "ok" considérant qu'il y a des meilleurs scotch moins cher et des pires plus cher. Pour ma part, je n'ai pas été très impressionné par la gamme de Bowmore en générale et celui-ci n'en fait pas exception. J'y vais donc d'un 72%.