Tastes

Fruits confits, gelée de canneberges, salé et umami au nez aussi, splash poivré en finale, le bois épicé domine la finale (bien différent du nez), il y a moins de cohésion du début à la fin mais peut-être plus savoureux que la moyenne, belle rondeur, mais la finale est trop boisée pour être considérée excellente

Mince, jeune et rough sans eau ajoutée, les épices de la barrique sont longues en finale, sinon une belle tarte aux pommes et quelques pêches précédent une longue chaleur avec une touche de miel floral.

Petites fleurs roses, lavande et raisins rouges au nez, léger et parfumé, touche de caoutchouc, un nez unique menant vers une finale qui revient rapidement vers le bois cependant

Un beau parfum de cendres dans un feu de foyer avec quelques notes toastées. Dans la famille Ardbeg plus que Lagavulin ou Laphroaig, mais moins de citron et d’acidité. Une rondeur miellée délicate colle le tout ensemble, avec une bûche de bois sèche provenant de la barrique nous préparant pour le retour de la cendre et de la fumée. Très bon!

Des subtilités de romarin et de sauge surprennent au nez, puis vient une gelée de canneberge dans une texture capiteuse, des notes de vin de glace et de cannelle, avec une finale douce, un peu tannique, puis une légère acidité aux accents de pomme. Un whisky avec peu plus de caractère et de complexité que le Glenfarclas 17 dans le même genre Speyside « xérès-ifié ».

Tout d’abord, quelques étrangetés se pointent le bout du nez, avec une efface à crayon, du caoutchouc, un diachylon iodé, mais le tout n’est étrangement pas dérangeant. En bouche, la texture est tout de suite ronde et soyeuse (plus riche et sucrée que le Uigeadail, par exemple). Des saveurs de fleurs et d’orange se développent aussi, avec une deuxième moitié bien cendrée, une explosion de tourbe cendrée avec un splash de citron (quand même moins long que celui du Ardbeg 10 ans). Des fruits séchés prennent le dessus ensuite, complexes et fondus dans une longue finale confiturée maltée. Puis la tourbe reprend le dessus,m. Bref, immensément savoureux et complexe! Wow!

Des fruits profondément miellés du début à la fin, des dattes de type deglet nour même en finale, le tout dans une texture soyeuse à souhait. Étonnamment, le Xérès est moins captivant que dans le Edradour 12 ans (ce qui en dit plus sur le Edradour, je crois bien). Le profil est tout de même complexe et très satisfaisant, avec quelques fruits des champs, de la fleur d’oranger, du sucre d’orge, du bois et même une efface à crayon à l’occasion…

Le parfum est très iodé, oui, mais bien velouté aussi. La texture est ronde et mène vers un profil fumé et salin mais aussi fruité et sucré, avec un caramel enveloppant, des dattes de type Deglet Nour, etc. Une touche de cendre surgit en arrière plan avec une marmelade d’orange et des bonbon Rockets… Vraiment complexe et fascinant!

Des cerises au nez, suivies d’une fumée de tourbe à consonance d’algues et d’herbes humides et salines. Vraiment intriguant comme caractère. Le profil de saveurs demeure somme toute délicat, avec une texture soyeuse et rien de trop intense. Un surprenant souffle de cacao fruité apparaît en finale, question de donner le goût de continuer à déguster. Un whisky qui mérite d’être exploré en profondeur.

Des saveurs de miel avec une touche florale, du petit bois et une texture riche et soyeuse. Le nez comporte un soupçon de caoutchouc et d’argile, puis le tout plonge vers un glaçage à la vanille et une finale épicée saupoudrée de muscade et de curcuma subtils.