Tastes

Du miel et des épices de Noël (clou, muscade, cannelle), des fleurs jaunes (safran, verge d’or), une belle longueur épicée et miellée, peut-être pas complexe mais très agréable du début à la fin, un gâteau avec vanille et amandes, de l’eau de rose, pas loin d’un baklava finalement, bien équilibré avec vraiment une belle longueur!

Plein d’épices comme la cardamome et la muscade, du miel fermenté et floral, un très bel arôme bref menant vers des raisins blancs de vin dessert et une intrigante pointe de safran

Du miel séché, un biscuit salé, des notes florales et une attaque épicée, puis une délicieuse finale avec du bois et bien des abricots séchés.

Un nez beaucoup plus sur le pain que le 10 ans, un peu plus fruité aussi (fruits jaunes), mais possède la même explosion cendrée que le 10 cependant, une signature Ardbeg évidente, avec un retour du levain en fin de bouche. Belle comparaison avec le 10 ans fermenté beaucoup moins longtemps mais plus raffiné.

Des raisins secs, un alcool puissant, des fleurs sucrées, un zeste d’orange avec une belle longueur, du bois vert en toute fin. L’umami est moins présent que dans le 12 ans, mais la salinité apparaît après quelques gorgées, avec des suggestions de prunes, de sucre à glacer/vanille et des épices de Noël subtiles (cardamome, cannelle, muscade).

Un miel floral sur un bois plus vert et moins épicé que le French Oak, un alcool plus apparent en finale aussi, un whisky simple mais efficace, avec quelques douces épices en finale comme la muscade.

Des raisins secs au nez comme la version Sauternes, puis une touche épicée, une confiture de canneberges, un peu de caoutchouc, avec du bois poivré et amer dominant la deuxième moitié, avec une gelée de raisins rouges, un miel floral et une eau de rose au milieu, dans une texture assez riche.

Nez de raisins secs avec un botrytis encore perceptible, un poiré de glace aussi apparaît avec un miel floral, notes de cidre de pomme, donc un nez bien complexe. En bouche, un bois sec prend le contrôle dans une texture soyeuse pas trop grasse, moins sucrée que le Glenmorangie Nectar d’Or. La finale est de longueur moyenne, est un peu amère et surtout boisée. Donc le sauternes est surtout présent au nez et au début de la gorgée, réapparaissant peut-être en gâteau à la vanille à la fin.

Miel cuit d’abord dans un corps rond avec un splash d’alcool, approche ensuite florale, simple et riche, avec du bois vert en arrière-plan, un peu de bois brûlé et une banane flambée.

Fruits confits et miel profond, biscuit avec une touche salée, oranges, caramel, pas mal de scotch mist avec l’ajout d’eau, manque de raffinement mais beaucoup de saveurs!