Tastes

info: un 18 ans d'âge de Glenlivet embouteillé à 43%. Probablement l'une des expressions les plus classique de Glenlivet. Il s'agit de la bouteille la plus vendu après le 12 ans d'âge. Elle a gagné deux mention d'or de l'International Wine and Spirits Competition. On reconnait les embouteillagees de Glenlivet pour ses arômes florales et fraîches. Celui-ci n'en fait pas exception. Nez: pellures d'oranges, brise salées, caramel. Bouche: texte onctueuse et bien grasse dans le verre. Définitivement des agrumes et du chocolat amer au fleur de sel. Pomme et noix de Grenoble. Je m'attendais à des notes de sherry, je ne sais pas pourquoi mais, rien de cela. Je crois qu'il y a une petite fumé très éphémère et caché. Les épices sont là... mais, elles n'explosent pas. Sa flotte mais ça ne vole pas. ça s'est formé mais ça n'a pas levé. Boisé sur le chêne brulé et épicé sur un petit gingembre pas très affirmatif. Finale: Frais, notes d'orange et d'épice. Overall: Ok, pour commencer, je vais mettre au clair quelque chose. Je ne crois pas avoir été impressionné par aucune des éditions de cette distillerie jusqu'à présent mais, dans l'ensemble aucune de leurs éditions n'a été complètement un flop non plus (j'exclus par principe le founder's Reserve qui est l'un des pires que j'ai but). La seul édition que je voudrais dans ma collection c'est le Nadurra 16. Ce 18 ans est dans cette vague de produit dont je ne peux dire qu'ils m'ont particulièrement impressionné. Cependant, question aromatique, celui-ci me rejoins déjà plus que les autres éditions plus légère comme le 15 ans ou le 12 ans qui sont vraiment des scotch de soirée. Celui-ci m'apparait plus complexe et plus affirmé (même s'il aurait gagné à s'affirmer davantage). C'est celui qui me semble le plus près de la bonne voie. Si l'on pousserait l'intensité d'un cran, il pourrait être excellent. Je me questionne aussi si c'était nécessaire de le vieillir 18 ans... il semble avoir perdu une petite fumé au file du vieillissement. Pourquoi ne pas faire une version de ce produit en 15-16 ans moins dilué... disons 46%? Je crois qu'il gagnerait des points ainsi. Overall, j'aime bien. Un peu les mêmes points qui m'ont déçu du Glenfarclas 17. Quoique entre les deux je préfères encore le farclas. Un whisky plus pour débutant? Peut-être... cela fait une bonne introduction aux boisiés-épices par son mariage avec le fruité et le florale. On ne peut critiquer un manque de complexité mais, on peut lui reprocher un manque d'intensité et d'affirmation aromatique. Bref, j'aime bien mais ça m'en prend plus pour me charmer. 77%

batch 3 Nez: sucré sur le sherry. C'est un CS et ça paraît au nez! Bouche: je m'attendais pas à ça... une douceur malgré le haut taux!!! Fraises confites, des oranges fraîches, une touche de cannelle et de gingembre. Frais et onctueux. je soupçonne un filtrage quelconque compte tenu de la quasi absence de gras. surtout que c'est un cask strength ! Finale: assez longue sur les épices. Overall: tres aromatiquement similaire au macallan no 2 mais version cask strength (et filtré?). Tres très bon et intense. Du sherry bomb a l'etat pur! il est plus doux que le Abunadh et le Classic cut mais question intensité aromatique, plus intense sur le sherry que le classic cut mais moins que le Abunadh. Bref, cest votre genre ou ce l'est pas. Si vous n'aimez pas Macallan ou Abunadh, ce nest pas pour vous. si au contraire vous etes fan de sherry bomb, cest définitivement pour vous! (et pour moi!) 95%

info: une combinaison de ex-bourbon et ex-sherry de premier remplissage. 12 ans dans le premier et 3 ans dans le second. Anciennement appelé le Darkest désormais seulement 15 ans. J'ai en main le Darkest, l'ancienne édition. J'ai aussi gouté la nouvelle au bar et pour être honnête, je ne croyais d'abord pas que c'était le même whisky. Pourtant, tout indique que le procédé est identique. Si c'est seulement la variation entre les batch que j'ai perçu, ça m'a semblé énorme comme différence. Bref, je ne sais pas trop quoi en penser mais, pour ma part, il est clair que les goûts ne goûte vraiment pas pareille. Quatre récompense, les quatre fois l'or en 2013, 2014, 2017 et 2018 (International Wine & Spirit Competition et The Spirits Business). Nez: c'est sucré et fumé. Des raisins et des épices. Bouche: Doux. fruité. Des dattes ou des raisins secs trempé dans la sauce BBQ. Céréalier. Une douceur derrière sur cette crème céréalière. Texture ok. Impression de dilution. ça parait que ce n'est qu'un finish de 3 ans en fut de sherry. Sans ça, il n'y aurait pas grand chose. Ou est le ex-bourbon? Confondu à travers le finish en sherry. je pense qu'il aurait gagné à s'affirmer pleinement sur le sherry. Finale: Éphémère. pratiquement inexistante. Fumé et amertume. Overall: Tandis que la nouvelle édition du 15 était plus boisé et plus sèche en bouche, le 15 darkest est juteux et fruité. tellement juteux que ça semble dilué. Ce n'est pas mauvais. Mais, ça semble être une pâle copie moins complexe du Lagavulin 16. Un peu comme une version plus légère et moins agressive de ce dernier. Je pense que c'est un scotch pour ceux qui débute leur aventure dans la tourbe. Cette tourbe est équilibré avec le sucre des raisins secs. rapport qualité-prix "ok" considérant qu'il y a des meilleurs scotch moins cher et des pires plus cher. Pour ma part, je n'ai pas été très impressionné par la gamme de Bowmore en générale et celui-ci n'en fait pas exception. J'y vais donc d'un 72%.

info: ce 12 ans est vieilli un ex fut de bourbon de premier remplissage. Chaque bouteille est une des 300 bouteilles issues du même fut. Une couleur pâle, sans colorant. Sans filtrage à froid non plus. C'est assez rare de voir des whisky si jeune en version "single cask". Pour avoir gouté 2-3 bouteille différente, les saveurs m'ont semblé constante. La liste de récompense est longue et récurrente. La plus récente étant "Silver oustanding" en 2017 dans la catégorie Speyside par "international Wine & Spirit Competition". Nez: Beaucoup de vanille intense. De la crème, des agrumes, du citron, de la meringue, des amandes grillées dans le beurre. Le nez est juste magnifique! Un gros gâteau glacé à la vanille et au chocolat blanc. Bouche: Belle intensité!Oon glisse sur la longue vanille crémeuse et je perçois bien les amandes ensuite et ça termine plus loin sur ene petite touche pointue en alcool. Belle texture grasse dans le verre! C'est onctueux comme liquide. Finale: Longue avec une touche fraiche (de la menthe? des fleurs?) Overall: J'adore celui là! Pas le plus complexe mais c'est une belle intensité. Vous voulez un scotch vanillé et bien vous l'avez. Dans la catégorie du Hedonism de CB mais en un peu plus agressif sur l'alcool. Alors, je me questionne sur le rapport qualité prix. Ici en SAQ il est près de 141$ CAD, ce qui le place en compétition avec une tonne de bon whisky. J'ai trouvé celui-là à 98$ à Calgary, ce qui me laisse croire que le prix en SAQ est beaucoup trop élevé. Bref, pour 98$ CAD (taxes incluses) c'est une super bonne valeur à mon avis. Je ne pense pas qu'à 141$ CAD j'achèterai cependant. Ceci étant dit, il reste qu'il s'agit de l'un des meilleurs 12 ans que j'ai gouté et qu'il s'agit probablement de l'un des meilleurs scotch de cette palette d'arôme sur la vanille (dans cette gamme de prix). J'ai beaucoup de plaisir avec ce verre même si ce n'est pas le plus complexe. Et, pour ceux qui se demande s'il est similaire au Doublewood 12 ans: absolument pas. Ce n'est même pas comparable, le premier est près de la surdilution alors que le deuxièmement est révèle pleinement son potentiel aromatique. Je crois que cette expression est plus représentative de la gamme en général de Balvenie qui est selon moi une excellent distillerie. Finalement, je ne crois pas que cela soit un scotch de débutant dans le sens où la vanille n'est souvent pas l'arôme la plus facilement perceptible pour ceux qui n'ont pas le palet développé. Si vous savez que votre palet se sent agressé facilement par un taux un peu plus élevé que 40%, ce n'est pas pour vous non plus. La pointe alcoolisé n'est peut-être pas ce que les débutants recherche non plus. Pour ceux qui perçoive bien la vanille et les amandes de ce breuvage, ce sera un délice! Bref, pour ma part j'adore ce produit de Balvenie! (contrairement au doublewood 12). 93%

info: Je me sens presque indigne de relater les principales informations de ce monstre. Plusieurs le considère comme le meilleur whisky au monde (Paul Pacult dans son Spirit Journal). Enfin, les attentes sont haute lorsque l'on se met à lire sur ce produit. Sommairement, il s'agit d'un assemblage de fûts de sherry et de fûts de bourbon. Le produit a été redesigné en 2017 mais il s'agit toujours du même produit mais avec un nouveau nom "Viking Pride". Nombreuse récompense alors je me contente de nommé la dernière: Gold en 2018 par The Scotch Whisky Masters pour la catégorie Highlands & Islands 13-18 years old. Nez: C'est presque cliché de le dire mais définitivement caramel-salé. Floral. Des fleurs de vanille. Miel croustillant. Me parait cireux mais c'est l'impression laissé par la légère, très légère fumé. Bouche: Ouais... je vois. C'est rond. C'est rond rond rond. Pas de coins qui dépasse. Parfaitement équilibré. Les saveurs sont parfaitement en harmonie. Crème de vanille, yahourt avec du sirop, une fumé qui fait désormais pensé à un café fraichement moulu (l’odeur humé en bouche lorsque fraichement moulu). Définitivement des notes de caramel et de sel (c'est probablement ce qui a de plus facile a percevoir en fait). Un miel. Un miel croustillant style honeycomb. Cette fumé, un peu plastique, est exactement au même niveau que l'ensemble du bouquet (c'est rare!). Notes d'agrumes qui tardent un peu vers la fin quand la chaleur de l'alcool refait surface (car jusqu'ici c'était complètement absent). Texture impeccable. Finale: Sur ce long miel sucré et floral et cette fumé plastique. Overall: Je suis capable d'apprécier la complexité et la finesse d'exécution. Superbe complexité et presque impossible d'exécuter mieux ce bouquet d'arôme. Je vous avoue que ce qui me bloque à apprécier pleinement ce whisky c'est cette fumé plastique typique de la distillerie que l'on retrouve dans tous ses produits. Mais, ça c'est plus une question de gout personnel. J'aime le produit détrompez-vous. C,est frais, rond et définitivement un must à goûter dans sa vie d'amateur de whisky. Tout cela pour dire que je comprends l'engouement mais ne le partage peut-être pas au même point. 90%

Info: l'une des 8 bouteilles du release de Game Of Thrones de 2018 (une neuvième pour le nightwatch par JW). L'une des deux seules bouteilles non-NAS (avec le Royal Lochnagar 12) et le deuxieme plus cher du lot (120 CAD ici en SAQ). Cette bouteille représente la Maison Lannister (chacune en représente une différente). Un des repproche que l'on voit souvent sur les réseau sociaux et les forums est qu'ils ont "miss-matched" les différentes maisons avec les distilleries (ex: Targaryen-feu-sherry vs un Cardhu weak... ça fit pas pentoute). Au delà du marketing, il s'agit d'un produit 100% de l'ile d'Islay vieilli en ex-fut de bourbon et dont on a ajouté du colorant. Nez: sucré. Fumé et sucré. Caramel fumé. viandeux. du jambon foret-noir saucé dans le syrop. Une touche médicinale qui rappelle Laphroaig... étrange. légèrement iodé. Maritime. Sel de mer apporté par une brise fraiche. Bouche: Rien qui était au nez que l'on ne retrouve pas en bouche: Jambon fumé-syrop/caramel et sel iodé. Le tout ensemble rappelle de la sauce BBQ. Plus loin, on retrouve un côté fruité... des ananas, des bananes et du jus de citron fraichement pressé. C'est jeune comme liquide mais, la texture est belle. Final: Longue. Fumé-boisé sur le chêne les bananes et une touche d'algue amer et salé. Après quelque seconde que le liquide a passé, quelque chose de frais... des herbes... de la coriandre. Overall: C'est doux. Grand publique mais tourbé à la Lagavulin. Quelqu'un qui n'aime pas la tourbe ne changera probablement pas d'idée après celui-là. Quelqu'un qui aime déjà Lagavulin sera probablement déçu pour la simple raison qu'il s'agit d'une version inférieur du 16 ans qui est le même prix. Inutile de dire que le rapport qualité-prix n'est pas au rendez-vous. L'absence de finish en fut de sherry fait en sorte que le champs aromatique se rapproche plus du Lagav 12 que du 16. Imaginez-vous une version du 12 ans de 2016 plus jeune de 3 ans et dilué à 46%. Bref, rien de mauvais mais, je n'ai pas été jeté par terre par cette édition. Amateurs avancés, vous pouvez passer sans regret. Amateur débutant, probable que vous ne soyez pas enchanté non plus. C'est plus une bouteille de soirée facile à boire qu'une bouteille à décortiqué de façon concentré... tsé quand tu veux pas amener du stock que tu trip trop de peur que ça s'envole trop vite mais que tu veux quand même boire quelque chose qui fait du sens... et bien, c'est ce genre de bouteille. Un peu ce que le An Oa est à Ardbeg, le lagavulin 9 est une bonne bouteille mais la moins impressionnante de la gamme. 86%

info: la 4e édition expérimentale de Glenfiddich (Les autres sont : IPA, project XX et Winter Storm). Une version sans mention d'âge vieilli en ex fut de bourbon et le grain est tourbé. Le liquide est ensuite fini en fut de rhum quelques mois. Un embouteillage à 43%. Il est plutôt rare que Brian Kinsman nous invite dans un univers tourbé. N'étant pas un fan fou de Glenfiddich, cet aspect inhabituel à piqué ma curiosité. Nez: Nez sucré, tourbé et mentholé. Bouche: Tourbe sucré. Du sucre brun. Des herbes... de la menthe? Doux. Particulièrement doux. Cette tourbe n'est pas agressive. Elle est légère et amène un sucre avec elle. Probalement le sucre du fût de rhum. C'est bien exécuté et on ne sent pas de distance entre les champs aromatique différent. C'est harmonieux. Fire & Cane, ça lui va très bien. Une tourbe légerte... que l'on pourrait presque qualifier de fumé, en fait. Des notes de caramel salé, d'agrume et de bois de chêne. Comme la plupart des éditions de Glenfiddich, la dilution est perceptible. Finale: Moyenne. Fraiche, sucré et fumé. Overall: j'aime bien. Je ne suis pas en amour avec cette édition mais, c'est bien exécuté et équilibré. Le jeu d'arôme est original et complexe. c'est une belle expérience et je suis content d'y avoir gouté. Je ne vais pas courir allez m'acheter une bouteille mais, j'apprécie particulièrement mon verre. D'une certaine façon, c'est le Valknut de Glenfiddich. Une sorte d'aventure en dehors du champ aromatique habituel de la distillerie afin d'explorer ce que l'on peut faire avec du grain tourbé. Il ne tombe pas non plus très loin du Valknut mais, je crois que je préfère le jeu original de celui-là pour son rapport qualité prix. Ce qu'on peut lui reprocher? En fait, les deux sont trop dilué à mon goût et celui-là l'est définitivement trop pour lui faire mériter une excellente note. 87% pour le goût trop léger et dilué mais bien exécuté, agréable et original.

info: le Eagle Rare est un bourbon de la distillerie Buffalo Trace. Il en existe deux versions: le 10 ans et le 17 ans. Ici, il s'agit du 10 ans d'âge. D'une certaine façon, le Eagle Rare s'est taillé une réputation de niche dans cette appellation de Bourbon. Plusieurs voit en ce Bourbon la référence du genre vue son rapport qualité prix. Évidemment, ce bourbon, comme tous les bourbons, sont vieilli dans des barril de chêne brulé neuf (de premier remplissage). Je n'ai pas touver l'information sur la composition exacte du grain mais, pour que cela soit considéré un bourbon au sens propre, au moins 51% du grain doit être du maïs. Plusieurs distinctions à son actif: - Gold Medal; Best Age Statement Bourbon - World Whiskies Awards (Whisky Magazine) - Gold Medal - San Francisco World Spirits Competition - Extraordinary/Ultimate Recommendation (95 points); "Great Value" - Ultimate Spirits Challenge - Gold Medal (92 points) - Los Angeles International Spirits Competition - Gold Medal - North American Bourbon and Whiskey Competition - Silver Outstanding Medal - International Wine & Spirits Competition (UK) Nez: Épices, chêne brulé et sirop de maïs. Bouche: Cannelle, noix grillés au beurre, miel et fruits rouges Finale: Chaude mais sans brulure. Sur les épices. Boisé et chaleur de cannelle. Overall: Ok... je m'attendais à rien honnêtement car je suis souvent difficile côté bourbon. Mais, overall c'est bien! Riche en arôme et ce n'est pas brulant sur l'alcool malgré le 45%, et ce, grâce aux 10 ans d'âge. C'est une belle âge et un bon prix pour la qualité de ce bourbon. Je crois qu'après Blanton's, c'est le bourbon que j'ai préféré (de cette gamme de prix). Un passe partout: parfait pour ceux qui débute dans le whisky (vue sa douceur) et peut satisfaire les amateurs avancés vue sa complexité aromatique. On pourrait reproché une trop grande douceur et un manque d'intensité mais, à ce prix... c'est probablement trop en demander vue les autres points positifs. Bref, je vais m'en acheter une pour mon prochain party de famille! 86%

info: La 7e batch de la série Cask Strenght de GlenDronach toujours avec son jeu de PX et de Oloroso. Cette batch ne s'est pas rendu ici au Québec en SAQ mais, elle était disponible (j'ai acheté la dernière bouteille) en Ontario en LCBO. En effet, lorsque j'ai communiqué avec le personnelle de la SAQ, on m'a affirmé qu'il n'y avait aucune commande de prévu de ce produit. Étant un fan (de plus ne plus) de la distillerie, je n'ai donc pas hésité a courir à la LCBO à Hawkesburry pour acheter la dernière bouteille. Je n'ai pas eu la chance de gouter aux batch précédente malheureusement et je ne pourrai donc faire la comparaison. Nez: Gingembre, cannelle, fraise et vanille. Bouche: Épices et fruits rouges, sucre brun et noisettes Finale: une longue et onctueuse finale sur le Sherry et les épices. Overall: Je ne m'attendais à rien de moins d'un GlenDronach. Saveur intense et riche, belle texture, douceur malgré le au taux de %. Cette belle chaleur sur les épices wow! Si vous aimez les GlenDronach ou le Sherry en général, vous allez vous y retrouver. Le champs aromatique n'a rien de dépaysant mais son intensité aromatique compense cette lacune (si s'en est une). Bref, je ne suis pas le plus impartiale quand il s'agit de GlenDronach mais, celui-là est vraiment très agréable à boire. C'est le genre de bouteille qui va descendre souvent de l'étagère! 91%

info: le célèbre assemblage de Compass Box Peat Monster est un assemblage de fûts de la distillerie Ardomre (un Speyside fumé) et Laphroaig (pas besoin d'introduire cette distillerie je crois). Il s'agit donc un blended Malt puisque issue d'un mélange de single malt de deux distilleries (ou vatted malt si vous préférez). Récompeses: - Gold - Liquid Gold Award - 2014 (Jim Murray's Whisky Bible) - Best Blended Malt Scotch - 2014 (World Whiskies Awards) - Silver - Blended Malt - 2018 (The Scotch Whisky Masters) - Silver - Blended Malt - 2017 (international Wine & Spirit Competition) Nez: sel et tourbe, beurre, vanille, bacon et un vin blanc sec. Bouche: La sel et la tourbe domine, avec une belle touche sucré sur les pommes et la vanille. Des noix aussi... crémeux... du lait d'amande. Très doux! Finale: Fumé longue et salé, du style marin que l'on connait à Laphroaig. Et, au fond de la langue j'ai cette acidité de vin blanc fruité sur la pomme et la vanille. Franchement, belle finale. Overall: C'est le genre de whisky qui peu faire une belle introduction à la tourbe pour débutant vue sa douceur mais aussi faire l'affaire aux amateurs plus avancé qui cherche la complexité. Surtout pour le prix de 75$ en SAQ, c'est une valeur sûr que vous pouvez acheter les yeux fermés si cette description vous a accroché. Faut pas non plus s'attendre à un whisky à 200$, ce n'est pas le plus complexe et malgré tout on remarque la jeunesse du produit en bouche. Cette jeunesse, cette tourbe et ce sel maritime nous rappelle le style de Ardbeg mais avec une touche de vin blanc. Somme tout, cette texture bien riche et huileuse regorge de saveur. Le taux de 46% est parfait! 92% car je ne me passerais pas de celui-là!