Tastes
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Highland Park Valknut
Single Malt — Islands, Scotland
Reviewed February 19, 2019 (edited February 27, 2019)info: Le Valknut est la deuxième édition de la série créée en partenariat avec Jim Lyngvild. Une partie de l'orge utilisé dans ce single malt a été cultivé dans les Orcades et vieilli en fut de chêne américain de sherry. N'étant pas un fan de Highland Park à la basse, une des raisons pour laquelle je tenais à gouter à cette édition était les bons commentaires relativement à la fumé plus accentué de cette édition. Nez: lingerie, thym frais, des herbes et du sel. Le sel fumé typique de Highland Park. Pelure d'orange. Bouche: Céréalier, graine de tournesol, agrumes, sel et fumé. Final: medium sur le zeste d'orange et la touche de fumé. Overall: Pas mauvais, je ne peux pas dire que je suis tombé à terre mais ça se prend bien. Une complexité intermédiaire. Ce n'est pas assez pour me convertir à Highland Park mais, définitivement plus près de ma palette de goût. Surprenant comme texture; assez grasse en fait. Laissez le temps à votre verre de bien s'oxyder, cela révèlera les notes de d'herbe et de lingerie. Pour ceux qui aime le style de Highland Park, c'est une expression que vous devriez vous procurer. Pour ceux qui, comme moi, n'est généralement pas fan de Highland Park, ça vaut la peine de s'y attarder aussi puisqu'il s'agit d'un nouvel axe qui ne recoupe pas l'habituel cercle d'arôme que l'on retrouve dans leurs innombrable éditions. On me disait que c'était dans la ligné du Dark Origin. Je ne trouve pas. Hormis la fumé de Highland Park, je ne vois pas ce qui recoupe ces deux éditions. Le Dark Origin était Sherry-fumé alors que celui-ci est plus sur les herbes, les céréales et la fumé. Pour le jeu de sherry et de fumé inhabituel, je recommanderais le Dark Origin au lieu du Valknut (selon mes goûts à moi). Bref, selon mon échelle à moi (60-69; passable, 70-79; bien, 80-89; très bien, 90-99; excellent), je considère que c'est un "très bien" mais plus près du "bien" que du "excellent": 82%. -
Nez: Sherry, fruit sec. Semble doux au nez. Bouche: effectivement doux et fruité. des fruits rouges. C'est vraiment comme le Glendronach 12 sans les épices et avec 3% de moins. Peu complexe. Finale: Courte. Overall: C'est bon en bouche mais pas de wow ici. Un bon petit scotch sur le sherry qui se trouve à quelque part entre le Macallan Amber et le Glendronach 12. Content d'y avoir gouté. C'est un scotch de soirée tranquille. 71%
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Amrut Fusion Indian Single Malt Whisky
Single Malt — Bangalore, India
Reviewed February 8, 2019 (edited April 13, 2019)info: Un whisky qui combine l'orge himalayen (75%) et de l'orge tourbé d’Écosse (25%). C'est deux composante sont distillé et vieilli séparément pendant 4 ans. Ensuite, on "fusionne" ces deux composantes pendant 3 mois. Pour ceux qui ne savent pas, l'inde est un joueur important dans l'industrie du Whisky et la distillerie Amrut s'est taillé une place sur le marché mondiale. Le fusion est le produit qui a reçu le plus d'éloge et qui a fait la renommé mondiale de la distillerie Amrut. Tout a débuté après que ce produit ait été nommé le 3e meilleur whisky au monde de 2010 selon la Whisky Bible de Jim Murray. De plus, Ian Buxton en a fait son 3e whisky "to try before you die". nez: Boisé, force d'alcool perceptible au nez (50%, c'était à anticipé), crème et fumé. Bouche: fruit rouge et fumé. Une présence céréalière et une fumé bien affirmé. un peu plastique cette fumé. Un peu à la Highland Park, si vous voyez ce que je veux dire (sans rien enlever à Highland Park). Plus fruité sucré que salé mais tout de même une touche de sel dans la tourbe. Chocolat noir? C'est ce que les notes de dégustation indique mais, tout ce que je perçois de similaire c'est le petit goût amer derrière ces fruits confits. Peut-être que ce n'est que ça en fait... J'associerais ce goût amer à du café plutôt que du chocolat. Finale: Longue sur cette note de fumé amer fruité et boisé. Overall: Certains ne seront probablement pas d'accord mais je le catégoriserais dans la même palette aromatique que le Highland Park Dark Origin et le Benromach 100 proof. Mais bon, je renouvelle maintenant mon affirmation en effectuant la dégustation en parallèle. Je ne sais pas si c'est moi mais j'ai l'impression que cette "fusion" n'est pas entière. Il y a une certaine "distance" entre ces deux arômes de fruité et de fumé. Un peu comme si j'avais moi même mixé quelques single malt tourbé et fruité. Après le workthrough de la bouteille je trouve que les arômes se perde rapidement après oxydation. À boire rapidement après l'ouverture car après 3 semaines, le fruité avait déjà commencé a s’effacer. J'ai tout de même très apprécié ces moments passés avec cette bouteille et ça me donne envie d'explorer davantage la distillerie Amrut. Pour avoir gouté aussi la version originale, je préfère de loin cette expression plus complexe par son jeu de fruit rouge et de fumé. Je suis aussi très impressionné du rapport qualité prix, je ne peu pas omettre cet aspect qui rehausse aussi ma note. Bref, belle complexité malgré certaines faiblesses et un prix plus que raisonnable. Et, pour l'originalité ça vaut un bonus aussi. Effectivement un must de la catégorie "to try before you die". 84% -
info: Le Maker's 46 est le cousin du Maker's Mark mais avec une dimension supplémentaire qui est obtenu en insérant des douves de chêne français grillées dans les fûts (avec le profil de portée "numéro 46" - d'où le nom). Nez: Boisé, épicé sur la cannelle. Beaucoup de cannelle. Une touche de caramel brulé. Bouche: Cremeux et soyeux. Épicé et sharp en bouche. ça brule. Que de la Cannelle et du caramel. Finale: courte et prononcé sur la cannelle. Overall: si vous aimez la canelle, vous allez être servi. Ce whisky vous cri littéralement CANNELLE en plein visage. C'est une expression peu complexe mais intense du haut de ses 47% et ce taux se ressent en bouche. Il est jeune et peu gras. Je ne vais pas vous mentir, je préfère de loin les single malt. Même que côté épice, j'ai plusieurs bouteille de rye qui vont passé avant celui là afin de satisfaire mes envies de whisky épicé. Tout ça pour dire que je préfère les expressions plus complexe que les expressions que les expressions intense (quoique l'un n'exclu pas l'autre pour autant...). Bref, c'est bon mais pas wow comme mon bon vieux Blanton's. 65%
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Talisker Distillers Edition
Single Malt — Islands, Scotland
Reviewed January 31, 2019 (edited February 23, 2019)info: une édition annuelle qui revient en SAQ 2 fois par année à peu près. La gamme Distillers Edition regroupe les distilleries Lagavulin, Talisker, Caol Ila, Clynelish, Oban, Cragganmore, Dalwhinnie, Royal Lochnagar et Glenkinchie. Chaque distillerie prépare ainsi son milésimées issue d'une double maturation en fut de sherry ou de porto. Cela ajoute une complexité. Il s'agit ici de la version de 2016. Pour avoir gouté à celle de 2015 et de 2017, je ne peux pas dire que j'y ai vue une différence pour être honnête. 'e produit est millésimé mais très constant. La distillerie de l'Ile de Skye a choisi un finish en fût d'Amoroso, 1 an qui s'ajoute à son vieillissement "standard" de 10 ans en fut de chêne americain, pour son Distillers edition. J'ai beau réfléchir et je ne me souviens pas d'avoir entendu parler d'un autre whisky fini en fût d'Amoroso... Le degré d'alcool est de 45.8%, une belle couleur or, non filtré à froid et sans ajout de colorant. Deux récompenses: - Médaille d'Argent, Outstanding, International Wine & Spirit Competition 2013 - Meilleur Single Malt des Iles, World Whiskies Awards 2013 Nez: Caramel salé. Un sel marin. Une brise d'océan! un caramel bien moue et sucré. La fumé est subtile. Une petite épice pas trop loin... poivré? J'aurais aimé savoir le ppm... abricot et chocolat au lait. Bouche: Chocolat au lait! Sel de mer! Poivré et des fruits secs. Des raisins secs sucrés. La fumé est subtile et se confond avec le poivre. La texture est parfaitement huileuse et coule doucement sur le rebord de mon verre. Magnifique! le 45,8% est parfait! Je n'aurais pas demandé plus ni moins. Équilibré entre le sucré-salé, le fumé-épicé. Finale: longue sur la fumé poivré et les fruits secs provenant du fût d'Amoroso. Puis, c'est frais en bouche... pas de la menthe... compte tenu de l'influence du poivre, je dirais du clou de girofle. Overall: je ne passerais pas par quatre chemins, si j'avais une seule bouteille de Talisker à conserver, ce serait cette bouteille. Superbe complexité qui me rappelle le niveau atteint par Lagavulin. Je ne sais pas ce que l'on pourrait reprocher à ce superbe liquide... peut-être que l'équilibre "trop" parfait pourrait être perçu comme un manque d'affirmation? Un trouble de la personnalité? Pour ma part, je vois simplement une architecture aromatique bâti telle une œuvre d'art. Une bouteille qui va plaire à celui qui s'introduit à la fumé et à celui qui sait apprécier la complexité d'un spiritueux. Inutile de préciser qu'il vaut chacun de ses 120 $ CAD demandé en SAQ. 94% car c'est une bouteille qui sera toujours présente dans ma collection. Un must si vous n'avez pas encore gouté. -
info: Cette édition remplace l'ancienne édition de 10 ans âge de la distillerie. 40%. Je ne vois pas de mention pour le colorant et la filtration à froid. Un jeu de maturation avec des futs d'ex Bourbon et d'Oloroso. Typique de Auchentoshan, on utilise ici la triple distillation (au lieu de deux). Ce qui normalement adouci le breuvage. Nez: Chênes et fruité. Rapide comme ça, ça me semble bien jeune. Ethanol. Bouche: Ma petite gorgé était fruité et céréalière. Me rappelle un peu le Oban 14 mais, en moins complexe et en plus harsh. Sharp à la fin. Unidimensionnel. Plastique. Non sérieusement, je trouve que c'est "forcé" ces arômes. On dirait que les arômes sont en surface et artificielle. Des fûts de moindre qualité? Diliué. trop dilué. Finale: Courte. Sèche. Overall: Limite buvable neat. Je le trouve pas désagréable mais ô combien ennuyant. On m'en offre je vais en boire, je ne le commanderais pas au bar et encore moins en acheter une bouteille. Plastique. Si j'avais à décrire ce scotch en un mot ce serait définitivement: "plastique". Non, je ne vois pas pourquoi je recommanderais ce scotch même pour un débutant. Si vous débuté je suggère plutôt d'aller voir du côté de Arran avec leur 10 ans d'âge ou encore avec Aberlour. Si j'additionne le tout, ça me fait un score de 42%. Pas fort.
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Arran The Bothy Quarter Cask Batch 1
Single Malt — Islands, Scotland
Reviewed January 27, 2019 (edited July 16, 2019)info: Un Arran NAS, maturé en ex fut de bourbon et fini en quarter cask de chênes américain pendant 18 mois. Le quarter cask est, comme le nom l'indique, un petit tonnelet contenant environ le quart d'un fut normal. Il est utilisé souvent avec des plus jeunes whisky afin d' "accélérer" son processus de maturation. La surface par volume étant plus élevé, le liquide prendra moins de temps à être aromatisé par le fût. Il s'agit d'un cask strength donc au taux naturel de 55,7% sans dilution. Sans filtration à froid, sans colorant ajouté. 12 000 bouteilles par batch nez: Agrumes et noix. Crèmeux. Je n'ai pas gouté beaucoup de Arran encore mais celui là me rappelle le champ aromatique du 10 ans. Alcool forte évidemment vue son jeune âge et son taux d'alcool. Fruits secs. Me rappel un peu le nez du Glenfarclas 17 mais avec des agrumes plus prononcé. Bouche: ça brule. Dominance d'agrumes. Ensuite vanille et noix. Ok, ça fini bien: la brulure est passé. Aromatiquement intense. Il faut aimer les cask strenght (CS), sans quoi ce n'est probablement pas celui qui vous fera aimé davantage les CS. Belle texture huileuse! C'est harsh même après plusieurs plongés. Je pense que je vais ajouter de l'eau. C'est mieux. La plupart des Arrans que j'ai gouté avait ce fort éthanol. Probablement que leur liquide supporte moins bien les haut taux. Finale: Sur le chênes et la vanille... les agrumes. moyenne. Overall: Pour le prix ici, environ 95$ CAD en SAQ, je trouve qu'il est un peu cher. À 70-80$ je dirais rien mais là il y a trop d'autres bouteille qui passe avant à ce prix. La texture est très belle et les arômes bien présente. Je n'aime pas ajouté de l'eau dans mon scotch mais, je pense que c'est le genre de scotch qui en nécessite afin d'en dévoilé sa complexité. Bref, j'apprécie mon verre, c'est bien balancé et c'est un produit d'une bonne qualité mais, j'achèterai seulement si je peux le trouver moins cher par princinpe que ça reste un jeune liquide et que pour ce prix je peux avoir, par exemple, un Redbreast CS, un Lot 40 CS 11 ans, un Laphroaig Cairdeas, etc. 72% -
Glenmorangie Lasanta Sherry Cask Finish 12 Year
Single Malt — Highlands, Scotland
Reviewed January 23, 2019nez:sucre brun et fruit secs. ça sent l'alcool. bouche: et ça goute l'alcool aussi!! j'aime beaucoup la distillerie mais celui là me laisse perplexe. ou sont les fruits frais de Glenmorangie??? sucré, frais, canneberges séchées, harsh, feeling de jeune bourbon et texture qui laisse a désiré. trop dilué et Sharp sur l'alcool. rien ne me plaît... finale : brûlures d'alcool et fruits secs. relativement courte. overall : j'arrive pas a croire que c'est Glenmorangie qui a fait ça!! pas dans ma palette de goût, peu complexe et dilué. content d'avoir goûté dans un bar et de ne pas avoir acheté de bouteille!! 50% car ça passe pas l'examen!! -
info: un embouteillage 43% non filtré à froid. Une couleur or sans couleur ajouté. Une très légère fumé de 1 à 3 ppm. Une maturation en sherry casks de 1er, 2e et multi remplissage ayant contenu du xérès d'Oloroso et du Fino d'espagne. L'Oloroso est une variété de vin fortifié élaboré à Jerez et à Montilla-Moriles qui amène souvent des arôme de noix au whisky et une teinte plus foncé. Le Fino amène souvent un côté sucré et fruité. Ce 17 ans est une édition pour l'amérique du nord, le japon et les duty free. Deux prix à son actif: Gold par Liquid Gold Award 2018 (Jim Murray's Whisky Bible) et Bronze par Prenium 2013 (Malt Maniacs awards). Un prix ici d'environ 120$ CAD et disponible à la SAQ. Nez: Il prend du temps à s'ouvrir. Laissez le tranquille un bon 20 minutes surtout si la bouteille est fraichement ouverte. Ok maintenant j'ai les fruits confits et le xérès au premier plan. Quelque chose de cremeux, vanille et sur la noisette. Touche de fumé. Bouche: Bon ok c'est sur les mêmes notes. Les fruits confits, le beurre de noisette et une touche de fumé. J'allais dire qu'il était doux mais finalement il laisse un picotement sur la langue. Un peu sharp pour un 17 ans. Bizarre, j'ai cette sensation de dilution Finale: longue grâce à cette touche de fumé et on fini par revoir les épices de sherry typique de la distillerie (cannelle). Une touche d'agrume aussi. Style zeste de citron. Overall: Rien de super original et surtout si l'on connait la distillerie. Toutes les éditions sont sur ce raisin ou ces fruits confits, cette épice et ces noix. Pas de surprise. Cela dit, il s'agit d'un produit agréable à boire et suffisamment complexe pour justifier son prix. En fait, si ce produit n'était pas aussi dilué on pourrait avoir une belle expression selon moi. Je reste sur ma faim de sherry et pour être honnête je préfère le 15 qui représente selon moi un meilleur rapport qualité prix. Pour celui la: 77%
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Info: Ce Quarter cask est vieilli en petit tonnelet (d'un quart de la quantité normal) ce qui accentue la surface en contact avec le chêne de 30%. De cette manière, certains disent que le processus de vieillissement est proportionnellement accéléré. Auparavant ces tonnelets étaient utilisés pour faciliter le transport à cheval. Après avoir débuté sa maturation dans de classique fut de bourbon (habituellement utilisé pour les autres expressions de la distillerie) le liquide est transféré dans ces tonnelets pour plusieurs mois pour y ajouter une rondeur donné par le chêne. L'entrepôt est en bordure de l'Océan Altrantique ce qui traduit les traditionnelles arômes maritimes de la distillerie. Évidemment, comme les autres expressions, ce whisky est lourdement tourbé, non filtré à froid (mais filtré par de simple filtre à maille) et sans ajout de colorant. Pour ceux qui ne savent pas, la filtration à froid consiste à précipiter les acides gras à basse température pour clarifier le whisky et empêcher qu’il ne se trouble. La pratique de la filtration à froid est très répandue et est particulièrement problématique pour les single malts : elle clarifie le whisky, certes, mais au détriment de sa richesse gustative. Cette problématique n'est pas rencontré par une filtration à maille, méthode utilisé à l'époque du tonnelet. Plusieurs awards: - Gold, Liquid Gold Award - 2014, Jim Murray's Whisky Bible; - Gold, Scotch Single Malt - Islay - 2017, International Wine & Spirit Competition; - Silver Outstanding, Scotch Single Malt - Islay - 2014, International Wine & Spirit Competition; - Silver, Single Malt Scotch - to 12 Yrs - 2013, San Francisco World Spirits Competition; - Silver Outstanding, Scotch Single Malt - Islay - 2013, International Wine & Spirit Competition; - 3rd Place, Best Single Malt Scotch (Islay) - 2015, International Whisky Competition; - 3rd Place, Best Single Malt NAS - 2015, International Whisky Competition; Nez: Riche, crémeux, beurre, bacon fumé, zest de citron et sel marin, tourbe chimique à la Laphroaig (me fait pensé à l'odeur du gaz). Bouche: Piment vert sucré, bacon fumé, sel marin, tourbe médicinal. Finale: Longue, sur le sel et la tourbe style Laphroaig. Overall: J'aime beaucoup Laphroaig. C'est un excellent rapport-qualité prix. Une belle complexité. Je le classerait dans cette gamme de produit salin-troubé (Ardbeg 10, Peat Monster, Islay Mist, etc.). Pour ma part, c'est l'expression de Laphroaig qui ma donné envie d'explorer les autres expressions de cette distillerie. Il pourrait plaire à un amateur débutant en tourbe à cause de sa douceur prononcé par le sel. Cette richesse arômatique est palpable même pour un débutant. Si vous n'aimez pas la tourbe, évidemment, ce ne sera pas celui qui vous fera aimer davantage la tourbe (je crois). Bref, pour moi c'est un must dans la catégorie "entré de gamme tourbé". Pour le rapport qualité-prix, 88%
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